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Infos et actualités sportives revues de manière décalée

28 décembre 2015

Conseil de classe

Alors qu'outre manche les fêtes de fin d'année sont synonymes de boulot, la scène domestique fait relâche le temps de se gaver de dindes aux marrons et autre bûches glacées. Le moment est de dresser un bilan après le 1er semestre afin de situer le niveau des élèves de L1, avant la reprise avec la Coupe De France le week end prochain. Voici le verdict du conseil de classe.

 

Félicitations du jury

Paris: Pas vraiment une surprise tant la différence de niveau avec ses camarades est criante. Clairement un élève de Terminale dans une classe de CP. Seul petit bémol, sa supériorité lui fait se permettre une certaine condescendance parfois insupportable. Un peu comme si il commençait une DST une heure après tous les autres et obtenant un 20/20 en écrivant de la main gauche.

 

Mention très bien

Caen: Après avoir frôlé le redoublement l'année dernière, le SMC a bien retenu la leçon et s'est bien remis en question. Même si il a conservé ses cahiers de l'an dernier (Féret, Vercoutre, Imorou entre autres), le même sac (Garande), l'apport de son nouveau stylo Andy Delort lui a facilité l'écriture et ses résultats le prouvent. Très encourageant.

Angers: Elève besogneux, accrocheur, sans facilités apparentes, mais discipliné. A confirmer lors du second semestre, et voir si son environnement extérieur qui pourrait le perturber (Butelle parti, N'Doye en partance) n'aura pas d'incidence sur ses résultats.

Nice: Son arrivée dans son nouvel établissement de l'Allianz Riviera semble lui avoir fait le plus grand bien. De plus, il s'est découvert des facultés de surdoué, et surtout bien encadré par papa Puel. L'arrivée dans sa besace d'éléments comme Ben Arfa, Germain, Séri, et l'éclosion de Koziello et Le Marchand notamment lui ont redonné confiance en ses capacités. Impressionnant en matière offensive.

 

Mention bien

Monaco: L'élève énervant. Bourré de qualités, on a l'impression qu'il n'en fout pas une et pourtant il se retrouve second de la classe et à vrai dire on ne sait pas comment. Sans doute bien aidé par une baisse des autres en fin de semestre. Satisfaisant mais peut mieux faire.

Saint Etienne: Malgré des dimanches soirs difficiles et de ce fait des réveils compliqués le lundi matin, il monte en régime au fil des jours, avec un pic de forme entre le jeudi et le samedi. Si la semaine durait 3 jours, ses notes n'en seraient que meilleures. Mais bien dans l'ensemble.

Gazélec Ajaccio: Promis à un redoublement assuré, au vu de ses lacunes affichées en début d'année, il a mis un sacré coup de collier pour se retrouver en milieu de classe. Inespéré et à confirmer cette belle progression.

 

Mention assez bien

Lorient: Elève agréable, qui ne fait pas de vagues. Très efficace en rédaction notamment grâce à des conclusions abouties (Merci Moukandjo). Cependant, il reste un peu stigmatisé par ses autres comparses qui ne goûtent que très peu sa passion pour le synthétique.

 

Passable

Lille: Le changement de professeur lui a été bénéfique. Le remplacement de Monsieur "Ultra Bright" Renard par le colérique Antonetti a été synonyme de redressement. 3 victoires et un nul plus tard, l'élève lillois semble retrouver son niveau qui aurait dû être le sien depuis le début.

Nantes: Rien à signaler. Il est à sa place en milieu de peloton. Il ne semble pas en mesure de pouvoir prétendre à mieux, ce qui est dommage, lui qui fut un brillant élève autrefois.

Rennes: Elève énigmatique. Capable du pire comme du meilleur, on ne sait pas trop quoi penser de lui. Des choix de méthodologie incompréhensibles de la part de Montanier, mais ses bases solides lui permettent de se stabiliser dans le premier tiers de la classe. Toutefois ses absences récurrentes (comme Ntep) pourraient l'aider à viser plus haut si elles venaient à diminuer.

 

Doit faire ses preuves

Lyon: Elève en chute libre totale. Rien ne semble plus fonctionner, hallucinant au vu de ses qualités pourtant évidentes. Le lyonnais semble totalement dispersé, et certaines lacunes apparaissent. Cela a été notamment visible lors de son séjour européen où il a été renvoyé au bout de 6 jours. L'arrivée du prof remplaçant Mr Genesio l'aidera t-il à redresser la tête? A voir.

Marseille: Difficile d'évaluer son niveau réel. Des points forts mais de grandes fautes d'inattention lui coûtent de nombreux points. Elève semblant être plus à l'aise en extérieur (EPS et cour de récré) qu'en salle de cours. Peut-être perturbé par une trop grande pression à son domicile. Tout juste la moyenne mais doit viser beaucoup plus haut.

Bordeaux: Elève plus que moyen qui se dirige dangereusement vers le redoublement si il ne relève pas la tête rapidement. Vu le niveau général, le laborieux Bordelais devrait pouvoir s'en sortir mais risque de grandes désillusions si il continue dans cette voie. Doit se ressaisir.

Montpellier: Auteur d'un départ catastrophique, il s'est bien ressaisi et si il poursuit ses efforts devrait connaître un second semestre moins tumultueux. Néanmoins, espérons que le duo Baills/Martini saura perpétuer le redressement opéré par Mr Courbis, parti se reposer à la radio.

 

En grande difficulté

Bastia: Elève turbulent et d'un niveau assez faible, il surnage grâce à quelques fulgurances mais devra se battre pour éviter un redoublement.

Reims: Elève sympathique en début d'année dès lors que les résultats suivaient. Dès que le niveau s'est élevé, le Rémois a eu beaucoup plus de mal à suivre et ses notes s'en sont ressenties. Come Mr Printant le Bastiais, espérons que Mr Guégan puisse aider cet élève car il en a les moyens.

Guingamp: Elève moins brilant que son voisin Rennais, mais tout aussi énigmatique. Elève agrable et discret, il semble avoir beaucoup de mal à retrouver ses qualités de l'année dernière. Malgré un regain de forme en milieu de semestre, il rencontre de nouveau des problèmes qui l'on conduit en fin de classement. Certes peu épargné par la sévérité de certains enseignants, il doit se ressaisir sous peine de sanction en fin d'année.

 

Avis de redoublement

Toulouse: Elève très faible, surtout en matière défensive (3 gardiens de but se sont succédés pour finalement installer un gamin de 16 ans). S'est bien repris dernièrement mais aura bien du mal à s'en sortir à la vue de sa faiblesse générale.

Troyes: Candidat dès le premier semestre au redoublement, il a clairement baissé les bras, malgré une volonté initiale évidente de bien figurer. Elève clairement pas au niveau qui ne pourra pas se sauver. Un retour en classé inférieure ne lui fera pas de mal.

 

Bilan global de la classe

Une classe très homogène dans l'ensemble, à deux exceptions près situées aux extremités du classement. Mais le niveau reste cependant assez décevant dans l'ensemble comparé aux classes européennes. 

 

 

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9 décembre 2015

Le lionceau n'est pas encore Roi Lyon

images

Ce soir, Hubert Fournier et ses troupes terminent leur lamentable campagne européenne à Mestalla contre le Valence CF. Envolés les rêves de qualification en 8e de finales de LDC, tous comme ceux d'être reversés en Ligue Europa. Avec un seul point au compteur, avant ce dernier match, le temps semble loin où les dirigeants Lyonnais se frottaient les mains d'être tombés dans un groupe plus qu'abordable, où ils pensaient pouvoir se mêler à la lutte pour les 2 premières places avec le Zenit et les Valencians. Dans le pire des cas, la 3e place ne devait être qu'une formalité puisque l'ogre belge de La Gantoise était destiné à la dernière place.

Comme si cela ne suffisait pas, Lyon s'est également effondré sur la scène domestique avec un seul point pris (contre Nantes), des défaites cuisantes à domicile contre Montpellier et Angers, et une branlée reçue par les minots Niçois. Et dire que dans 4 jours, l'OL se déplace au parc pour défier le PSG. On peut dire qu'il y a meilleur adversaire pour espérer relever la tête. Les supporters pourront toujours se rassurer en se disant qu'une victoire dans le derby prime sur beaucoup de résultats, cela reste bien maigre.

Pour expliquer cet effondrement, beaucoup de facteurs rentrent en compte et illustrent bien ce qu'est devenu le football d'aujourd'hui ainsi que la mentalité qui l'entoure.

Faisons un petit retour en arrière, au début de la saison 2014-2015. Lyon vient de changer d'entraineur. Hubert Fournier vient de remplacer Rémi Garde au sortir d'une saison assez décevante avec une 5e place finale et une finale de coupe de la ligue contre le PSG.

Avec les contraintes budgétaires liées à la crise ainsi qu'à la construction du nouveau stade, Jean Michel Aulas décidait de faire confiance à la jeunesse prometteuse de son centre de formation et n'offrait au club que 2 principales recrues, Christophe Jallet et Lindsay Rose. Il espérait également un (enième) retour Yoann Gourcuff pour encadrer cette jeunesse qui découvrait la L1.

Autour d'un Maxime Gonalons confirmé, des Clément Grenier, Samuel Umtiti, Antony Lopes et Alexandre Lacazette en phase de confirmation, apparaissaient de nouveaux talents comme Nabil Fekir, Jordan Ferri ou encore Corentin Tolisso et Clinton N'Jie.

 

Après un début de saison poussif marqué par une piteuse élimination en barrages de Ligue Europa par un grand d'Europe la terreur roumaine de l'AFC Astra Giurgiu, ainsi que 3 défaites d'affilée contre Toulouse, Lens et Metz, le renouveau débutait par une victoire contre Monaco et lançait définitivement la saison lyonnaise. Et de ce fait la jeunesse prenait le pouvoir. Oubliés les Steed Malbranque, Gaël Danic ou autres Arnold Mvuemba, le milieu de terrain passait sous contrôle "Baby Gone". Aidés par les absences répétées ou prolongées de Gourcuff et Grenier, Tolisso et Feri prenaient place dans le 11 type aux côtés du grand frère Maxime Gonalons. En attaque le duo Lacazette/Fekir faisait merveille , épaulé par N'Jie en qualité de remplaçant. Mohamed Yattara, en vue en début de saison, disparaissait vite des écrans radars, et Benzia et Bahlouli se contentant de miettes.

L'OL s'imaginait déjà en nouveau Barça avec une équipe majoritairement issue de la Masia lyonnaise. Il faut dire qu'avec 7 titulaires issus du centre, JMA se frottait les mains.

Lyon poursuivra sa saison de belle manière avec une 2e place finale, titillant le PSG presque jusqu'au bout, une cinglante défaite à Caen enterrant définitivement les espoirs de titre.

Cette saison terminée, le plus dur allait commencer. Au delà de la confirmation, les égos allaient commencer à s'affirmer, un peu trop d'ailleurs. Afin d'éviter les envies d'ailleurs et conserver sa jeunesse triomphante, Aulas allait céder aux caprices à l'instar de Lacazette augmenté de manière démesurée. Avec le départ de Gourcuff et de son exhorbitant salaire, il pouvait se le permettre. Seul N'Jie quittait le navire et cédait aux sirènes de la Premier League.

Pour épauler cette jeunesse et la renforcer en vue de la LDC, de nouvelles recrues débarquaient telles que Valbuena, Darder, Rafael, Beauvue et Yanga Mbiwa, forçant le club à mettre la main au portefeuille. Et c'est cette stratégie qui allait précipiter l'OL vers la crise. Alors bien sûr, il s'agissait d'une bonne idée. Allier jeunesse et expérience , relancer ou faire exploser des joueurs en devenir, avait tout du bon pari.

Mais au bout de 4 mois de compétition, force est de constater que cela n'a pas pris. Entre des joueurs pas au niveau (Beauvue, Mapou) ou d'autres qui ont du mal à confirmer ou exister (Lacazette/Valbuena) l'échec est vraiment de mise. On pourrait mettre en lumière la grave blessure de Fekir pour expliquer cette situation, mais cela reste insuffisant.

Une des principales raisons de ce fiasco est la fracture plus qu'évidente du vestiaire entre les Lyonnais du cru et les autres. Bien sûr les clans ont toujours existé (exemple au Barça avec les catalans, les hollandais et les autres) mais rarement le collectif à du subir ces guerres puériles. Voir des nouveaux joueurs arriver boulverse les habitudes. Les repères et automatismes ne sont plus les mêmes, voir un joueur prendre ta place ou celle de ton pote dans TON club peut être difficile à accepter. Les joueurs qui pour la plupart n'ont qu'une voire deux saisons professionnelles semblent oublier d'où ils viennent et commencent à sa comporter comme si ils étaient des stars, souvent bien aidés par leurs agents ou leur entourage.

Les exemples sont légions: Beauvue qui déclare qu'il ne s'entend pas avec Lacazette, Tolisso et Rose qui se mettent sur la gueule, etc... D'ailleurs cette altercation vaudra à Lindsay Rose sa mise à l'écart du groupe pro. Bizarre... Ces signes prouvent que le groupe est scindé en deux.

El le coach dans tout ça? Hubert Fournier n'a plus de prise sur son groupe, est remis en cause par ses joueurs (Lacazette recemment) et les mêmes symptomes sont présents dans le staff où les Lyonnais historiques comme Joël Bats ou Bruno Genesio sont en conflit avec le reste du staf dont Fournier et son adjoint Michel Audrain.

Et Lacombe et Aulas dans tout ça? Ils semblent compter les points, observer, peut être plus occupés par la perspective financière (avec l'arrivée du nouveau stade) que par l'aspect sportif.

La situation n'est cependant pas non plus catastrophique, mais à ce rythme, le futur stade des Lumières accueillera des rencontres européennes uniquement sur Playstation ou celles des féminines.

 

23 novembre 2015

Comme un seul OM

Bonjour,

 

 Petite analyse du match Saint Etienne - Marseille.

Cette affiche s'annonçait glaciale du moins au niveau météorologique. rien n'en fut, bien heureusement.

Afin de réchauffer l'atmosphère, en avant match,nous avons eu droit à un vibrant hommage du peuple stéphanois, lors de la marseillaise, de la minute de silence dans le rond central, mais surtout grâce au maillot hommage des verts. Merci à eux.

Les marseillais quant à eux déployaient à leurs pieds la banderole des Ultras "Nous sommes Paris".

En avant match de nombreuses surprises nous attendaient au niveau des compos.

Côté Stéphanois, le forfait de Beric forçait Galthier à aligner Kevin Monnet Paquet dans l'axe et décalait Nolan Roux à droite, l'hécatombe défensive à aligner Polomat dans l'axe.

Michel quant à lui nous offrait (ou nous obligeait) le retour de Dja DjéDjé, la titularisation du chilien Isla en lieu et place de Lucas Silva, le repositionnement de Manquillo à la place de Mendy (en même temps De Ceglie même pour la DH c'est trop faible) ainsi qu'Ocampos à la place d'Alessandrini.

Pour ce dernier, la différence n'est pas faite sentir. Ocampos sembant être plus efficace avec sa compagne Majo Barbeito qu'avec l'OM.

Après un début de match équilibré, Steve sortait une énorme parade sur une frappe d'Hamouma (8e). En guise de réponse, Lass Action Hero envoyait une mine pied gauche que Ruffier envoyait sur sa barre et il s'en fallait de peu pour qu'elle retombe dans les filets après avoir ricoché sur son dos(16e).

Les hostilités étaient lancées.

Au bout de 30mn très plaisantes, Monnet Paquet envoyait à son tour la gonfle sur le poteau de Mandanda qui ne voyait même pas la peine de bouger.

Quelques minutes plus tard, Steve sortait une tête de Pajot grâce à une superbe manchette main opposée, comme disait Rohff : la grande classe.

A la 41e, suite à un centre de Dja DjéDjé, Ocampos, puis Nkoudou se rataient, mais pour ce dernier son tir foireux se transformait en offrande pour Michy qui crucifiait Ruffier. 

L'OM menait, ce qui n'était pas non plus volé mais les stéphanois méritaient mieux.

Au retour des vestiaires, les olympiens doublaient la mise grâce à Georges-Kevin, qui après s'être ramassé dans la pelouse, se relevait, fixait, et décochait une frappe déviée par Perrin mais qui finissait quand même au fond.

En dépit de son très bon match, comme souvent ces derniers temps, soit GKN avait de la chance, soit il avait des questions à poser à madame en rentrant.

Les 2 blocs commençaient à s'étirer, les contres s'enchainaient mais pas ou peu de grosses occasions comme un coup franc d'Hamouma flirtant avec le poteau ou celui de Michy Bob l'éponge bien sorti par Ruffier.

Le même Hamouma qui après une magnifique combinaison des verts se laissait tomber dans la surface et prenait un carton pour simulation. Ceci dit avec certains arbitres cela aurait marché. Hein Tony et compagnie...

Bref Marseille gérait son avance jusqu'au coup de sifflet final pour signer son 3e sucès consécutif à l'extérieur après Nantes et Lille.

Que retenir de ce match?

Avant tout un match plus que plaisant, rythmé et riche en occasions.

Grosse performance collective des marseillais qui ont été tous bons dans l'ensemble (même Cabella) sauf Ocampos en peu en retrait. Mention Spéciale à Mandanda, Nkoudou et surtout Lass Diarra le vrai boss du Game.

Concernant les verts, bon match dans l'ensemble. Ils méritaient certainement mieux mais avec un Mandanda comme ceci dans les buts il n'y avait rien à faire.

Je crois qu'il va falloir pour eux qu'ils arrêtent les matchs le dimanche soir sur canal parce qu'après les dérouillées reçues contre Nice, Paris et Lyon ça commence à faire beaucoup.

 

 

18 novembre 2015

Hommage

Bonjour à toutes et à tous,

Contrairement à l'idée principale de mon blog, comme tout premier post, j'ai décidé, par la force des évènements actuels, d'adresser un message de communion, de recueillement comme ont pu nous le montrer hier soir, nos ennemis préférés de la Perfide Albion.

Devant mon téléviseur, j'ai été saisi de cet élan de solidarité qu'ont su faire preuve nos amis anglais. Car dans cette douleur, il ne s'agissait plus d'animosité envers nos peuples respectifs, mais plutôt d'union sacrée contre cette barbarie sans nom, eux se souvenant des attentats du métro londonien de 2005.

Même si dans de pareilles circonstances, cela parait dérisoire et secondaire, l'attitude britannique fut exemplaire. La Marseillaise reprise dans tout Wembley, le mixité des 2 équipes au moment de la photo officielle, ainsi que la minute de silence observée dans le rond central.

Cela nous a tous fait chaud au coeur d'assister à cette communion et qui prouve que la solidarité entre les peuples existe même au delà des rivalités.

Cela fait d'autant plus chaud au coeur qu'à ce moment en dépit de la réticence de certains joueurs du PSG à rentrer en France, une personne dont je taierai le nom avait pour unique maxime de se vanter d'envoyer tout un pays à la retraite, ce qui illustre aussi bien le niveau élevé de sa stupidité en dépit de son talent.

Comme conclusion, je tiens à préciser que le sport, à l'instar de notre prétendue société à vecteur de solidarité, d'entraide et d'intégration.

Préservons cela!!! 

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